Selon certains médiums pris plus ou moins au sérieux, comme la légendaire et contestée Maria Orsic, dont on met en doute même jusqu’à l’existence, les Annunakis Ulémas nous révèleraient que certaines planètes de notre galaxie comme dans la constellation d’Ashtari, sont disposées sur une ligne à 33 degrés qui servirait de portail vers d’autres galaxies. Alpha Tauri était connue sous le nom d’Aldébaran. Adbara siginifie en arabe, « il est parti, il a voyagé ». Les habitants d’Aldébaran représentaient la descendance des Anunnakis. Tous seraient descendus en Phénicie, en Mésopotamie vers 450 000 ans avant Jésus-Christ. Ils auraient participé à l’élaboration des civilisations du Proche-Orient, du Moyen-Orient et de l’Asie Mineure. Certaines de leurs colonies étaient Ur, Saydoon et Baalbeck. Ces villes sont mentionnées dans les anciennes écritures et tablettes d’argile du Proche-Orient, de la cosmogonie des Phéniciens. Un scientifique de l’époque de Maria Orsic (seconde guerre mondiale), qui parlait couramment l’allemand, l’anglais et l’hébreu a suggéré aux militaires une hypothèse fondée sur la croyance selon laquelle, dans les temps anciens, la population d’Irak, Syrie, Egypte et Liban avait rencontré des entités d’un autre monde. Il a notamment remarqué que l’écriture de Byblos en Phénicie était plus qu’une langue ancienne. Selon lui, il s’agirait d’une expression mathématique sous forme de lettres. Certains scientifiques et linguistes avaient suggéré que les aliens pourraient ne pas posséder de langage oral mais plutôt écrit, car de nombreuses planètes n’ont pas l’atmosphère similaire à celle de la Terre.
Ainsi les mots ne peuvent pas être entendus parce qu’il n’y a pas d’atmosphère, aucun son ne peut être entendu. Dans ses états de transe médiumnique, Maria Orsic aurait écrit que Jésus n’était pas juif mais guérisseur phénicien né à Tyr au Liban.